Soyez vous-même, mais restez dans les clous. Ne débordez pas du cadre. Vous débordez du cadre? C'est bien, vous êtes unique, vous n'êtes pas un mouton blanc. Soyez fier d'être un mouton noir. Par ici. Intégrez ce troupeau de moutons noirs. Vous refusez de suivre ce troupeau? C'est bien, vous êtes une âme libre, une … Lire la suite de Venez comme vous êtes
Sombre
Stockholm, mon amour
Une femme enlevée, séquestrée par un mystérieux ravisseur qui ne ressent rien, mais qui, à son contact, s’éveille à ce qui semble être de l’affection. Tout part de là. Encore une fois. C’est en regardant un manga et en me voyant rechercher frénétiquement des fanarts et fanfictions que je comprends que je ne suis pas … Lire la suite de Stockholm, mon amour
Flop mortel
À la base, on m’avait invité comme +1 à une soirée de poker. Nous étions jeudi soir, la partie démarrait à 20h. Al était venu me chercher plus tôt, dans son 4x4 blanc étincelant sorti d’usine, pour que je prenne le temps de faire connaissance avec nos hôtes et boire un verre avant de commencer.
Nihilisme à emporter
Je vis sur un jeu de l’oie. J’avance de case en case. Je déménage et emménage, assez souvent pour ne pas savoir ce que cela fait de se sentir « chez soi ». Sauf une fois. À chaque nouvel endroit, j’abandonne derrière moi quelque chose, je fuis, je me cache, ou cours vers un but, … Lire la suite de Nihilisme à emporter
La mémoire encapsulée
Il y a certains objets qui ont une âme, parce qu’on a mis dedans un bout de soi, de nos souvenirs, de nos rêves et de nos échecs. Pour moi c’est un petit bout de métal, un porte-clés acheté dans une boutique du vieux-port lors d'une journée enneigée, sur lequel était inscrit les mots « Bienvenue … Lire la suite de La mémoire encapsulée
Lionel était l’archétype du connard.
Lionel faisait tout avec son smartphone. Il travaillait, payait les factures, réservait au restaurant, contrôlait la fréquence de son rythme cardiaque envoyé depuis sa montre, spéculait en bourse, gérait son capital, faisait du shopping, programmait l‘ouverture automatique des volets roulants, etc.
Elle s’appelait Élise
De toute sa vie, Ethan n’avait jamais posé les yeux sur une telle beauté. Elle s’appelait Élise. Un mètre soixante-quinze pour à peine cinquante-cinq kilos, et des jambes interminables. Le genre de jambes capable de vendre des escarpins hors de prix comme des petits pains.
Dystopie zombièsque
J’aurai préféré que les zombies dominent le monde, plutôt que ce qu’il nous est arrivé. Cet antidote a été distribué en masse à la population. Certains zombies en état trop avancé mourraient foudroyés par l’antidote. Mais les autres, malheureux chanceux, reprenaient vie.
A cœur ouvert
Il enroule ses doigts autour des siens. Ensemble, ils posent sa main sur le marquage au feutre. Il la guide, la soutient. Sa respiration s’intensifie lorsque le métal entre en contact avec la chair. La peau s’ouvre comme la fermeture éclair d’un vêtement.